Une dixième année d’implication au sein du Festival western

IMPLICATION. Hugues Carpentier sera le président du Festival western de St-Tite pour une deuxième année consécutive en 2020, ce qui marquera les 10 ans d’implication pour celui qui est maintenant employé de la municipalité de Lac-aux-Sables.

«J’ai toujours aimé le Festival western de St-Tite, et en 2010, je cherchais une façon de m’impliquer. En étant auparavant dans les médias, et en étant partenaire, j’avais découvert une facette du festival. Mais j’avais le goût aussi de connaître l’envers du décor. Ma première tâche comme bénévole a été au bar VIP des Grandes estrades. Mon réseau de contacts a fait en sorte que j’étais à l’aise avec les gens», se souvient Hugues Carpentier.

Ce dernier a continué ses implications bénévoles, notamment au concours de chant amateur et le concours de chant Stingray, et pour le mariage western. «J’ai touché à différentes choses avant de faire partie du comité organisateur. Ça m’a donné le goût d’en connaître davantage et de m’impliquer encore plus au sein du comité organisateur en 2015 pour avoir mon mot à dire. La grosse différence sur le comité organisateur c’est qu’on a des dossiers de gestion.»

Notamment, une des nouvelles idées avancées par le comité organisateur a été celle de vendre les billets de tirage dans les rues. «On l’a mis de l’avant l’an passé, et ça super bien été. Un autre bon coup a été d’avoir la GRC avec nous l’an passé. Ce sont des idées du comité organisateur, mais elles sont validées par le comité de travail et les employés permanents du festival.»

Assurément, ce sera la deuxième et dernière année pour M. Carpentier, puisque la présidence du festival est consentie pour un maximum de deux années. «Même si ça faisait 3-4 ans que j’étais sur le comité organisateur, on est toujours plus sollicité en tant que président. On a pris le virage du new country avec le comité, et c’est une belle réalisation. Comme président, je suis responsable des 600 bénévoles et j’en suis le porte-parole. Mais sans eux, il n’y aurait pas de festival. On est là pour bien encadrer les bénévoles. Ç’a été une belle marque de confiance aussi du conseil d’administration qui me voulait à la présidence pour une deuxième année. L’année passée, c’est comme si j’étais dans la brousse et je me faisais une trail, mais cette année la trail est fait, je sais dans quoi je m’en vais et je ne peux que m’améliorer.»

Pourquoi revenir à la présidence pour une seconde année? «En bon français, j’ai vraiment tripé! J’ai adoré la mobilisation de l’équipe, de la permanence, des bénévoles, on est tissé serré au comité organisateur et j’avais le goût de travailler avec l’équipe encore. Tant que le festival va vouloir de moi, je vais m’impliquer.»